02/07/2010 Claire Dehove, artiste |
02/07/2010 Vanessa Théodoropoulou, chercheuse et critique |
02/07/2010 Véronique Hébert |
02/07/2010 De gauche à droite: Anne-Marie Morice, directrice de Synesthésie, Stéphane Degoutin, Gwenola Wagon, Claire Dehove (de dos) |
La deuxième session de discussion a laissé place à des pistes souvent très intéressantes, allant dans de nombreuses directions et peut-être plus ancrées dans les aspects philosophiques des utopies urbaines. Le même concept avait été conservé, soit de prendre à part les personnes intéressées à passer devant la caméra pour quelques questions, et d'enclencher la discussion par la suite, tous ensemble. Lors de cette deuxième étape, les participants se sont prononcés sur les notions de désir, de fantasme et de sexualité. Le décalage entre le terme sex, à la base très individuel, privé, et le terme park, ramenant à quelque chose de public a été mentionné. On a aussi énoncé l'idée du sex park créant un vide plutôt que d'en combler un puisqu'il est connu qu'un fantasme réalisé en amène toujours un autre. Comme le disait Lacan (et le citait Yan Ciret, auteur, conférencier et commissaire d'expositions, lors de la discussion): "Tout ce qui est su est perdu pour le désir".
Ce fut donc encore une fois un beau mélange d'univers qui fut étalé à la table de discussion de la salle d'exposition. Et l'évolution entre cette soirée et celle d'hier se faisait aussi bien sentir. Des idées se précisent ou au contraire, s'élargissent mais bref, c'est un vrai brainstorm qui se crée à chaque fois, et ça, c'est tout simplement génial!
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